L’étoile se devait d’un sursaut d’orgueil, après une prestation mi-figue mi-raisin face au CAB et une défaite, qui a laissé beaucoup d’interrogations et d’amertume. Interrogations quand aux choix de Piet Hamberg, que d’aucuns estiment peu conformes aux capacités et profil de certains joueurs, conjuguées à cette incapacité de profiter de la chute du CA, pour mieux récoler à cette deuxième place, importante quand au décompte final.
En tous les cas l’entraineur étoilé a comme entendu les critiques qui fusaient de partout et est ce peut être à cause de la suspension de Zouaghi, mais il a choisi face au CSS, de changer d’optique, en incorporant Mabrouk dans l’axe, mais surtout Yacouba Diarra en soutien de Akaichi, tout en laissant Tembo et Sassi sur les flancs. Tactique téméraire et toute Portée vers l’offensive, avec une prise de risque certaine, mais qui n’a pas gêné l’étoile pour dominer une première mi-temps, avec en prime un jeu élaboré et réfléchi, beaucoup d’occasions franches et surtout de l’abnégation et de désir de bien faire. Certes le score de parité, qui conclua cette période initiale, était loin de refléter sa véritable physionomie, le CSS ayant choisi de jouer les contres a souvent défendu en bloc, préférant attendre l’étoile dans son camp. Les camarades de l’excellent Mabrouk, par ailleurs intraitable dans son poste axial, ne sont pas tombés dans la précipitation et nous avons assisté à beaucoup de mouvements chers à Piet Hamberg, de ce football à une touche de balle, sauf que Akaichi, qui a semble plus à l’aise garce à l’apport de Diarra, a raté au moins trois opportunités de scorer, une fois en ratant son tir après avoir évité Khaloufi (6'), puis en se faisant bousculer par Rouid dans la surface de réparation sans que l’arbitre ne bronche (10') et surtout sur ce centre de Tenniche et une tête trop élevée (30'), tout comme Tembo qui bute sur le portier sfaxien , suite à un caviar de Nafkha (20'). Auparavant Da silva , bien servi par Bergaoui, sur un contre rapide en profite pour marquer, contre le courant du jeu (29').
Heureusement qu’il y avait Tembo, toujours étincelant et gardant sa forme du moment, pour remettre les pendules à l’heure avec un but d’anthologie dont il a le secret! Après un travail initial de Tenniche, autre révélation, et un relai avec Diarra, le Zambien, presque excentré, adresse un maitre tir qui se loge dans la lucarne devant Khalloufi médusé (37').
La pression étoilée continua de plus belle à l’entame de la seconde mi-temps, Sassi aussi se décidant enfin à se réveiller un peu, en créant par deux fois le danger , sur son flanc, sans parler du travail de sape de Meité, Tenniche et Nafkha pour accaparer le ballon au milieu du terrain, alors que Diarra va imposer son physique et sa technique pour tenter de surprendre Khaloufi dont ce tir (55') qui passe légèrement à coté des bois des Sfaxiens . Hamza Younes faillit sur le contre prendre à défaut Balbouli, son tir est contré par Mabrouk, et sur la remise instantanée du portier étoilée, Tembo prend de vitesse Rouid et lobe magistralement Khaloufi sorti à la rencontre pour donner l’avantage aux étoilés (58').Encore une fois le zambien, démontre toutes ses qualités de buteur, sa rapidité d’exécution et son opportunisme pour enflammer les travées du stade olympique.
Sans trop forcer les étoilés ont su par la suite gérer la dernier demi-heure, sans fermer le jeu, et en continuant à attaquer, mais avec moins de percussion, même si Akaichi, en dépit de tous es efforts, s’en trouvera malchanceux dans ses tentatives. Victoire logique donc de l’étoile, qui a fait preuve de beaucoup d’application surtout, et de volonté de bien faire. C’est en somme le même effectif qui parfois perd son football, mais qui, se montre capable, quand se font de petits réglages pour fournir ce genre de prestations. Ce n’est pas encore la perfection, mais la qualité y est, et le noyau est solide, à l’image des Tembo, Akaichi, Diarra, Mabrouk et Tenniche notamment. Il suffit seulement d’y croire et de le renforcer pour que l’étoile retrouve véritablement une autre régularité et de la profondeur. Cela viendra avec le temps. Pour le reste la victoire fait du bien aux cœurs et conforte les esprits. Cela demande aussi confirmation, pas plus loin que mercredi prochain, pour un certain CA-ESS lourd de conséquences.
En tous les cas l’entraineur étoilé a comme entendu les critiques qui fusaient de partout et est ce peut être à cause de la suspension de Zouaghi, mais il a choisi face au CSS, de changer d’optique, en incorporant Mabrouk dans l’axe, mais surtout Yacouba Diarra en soutien de Akaichi, tout en laissant Tembo et Sassi sur les flancs. Tactique téméraire et toute Portée vers l’offensive, avec une prise de risque certaine, mais qui n’a pas gêné l’étoile pour dominer une première mi-temps, avec en prime un jeu élaboré et réfléchi, beaucoup d’occasions franches et surtout de l’abnégation et de désir de bien faire. Certes le score de parité, qui conclua cette période initiale, était loin de refléter sa véritable physionomie, le CSS ayant choisi de jouer les contres a souvent défendu en bloc, préférant attendre l’étoile dans son camp. Les camarades de l’excellent Mabrouk, par ailleurs intraitable dans son poste axial, ne sont pas tombés dans la précipitation et nous avons assisté à beaucoup de mouvements chers à Piet Hamberg, de ce football à une touche de balle, sauf que Akaichi, qui a semble plus à l’aise garce à l’apport de Diarra, a raté au moins trois opportunités de scorer, une fois en ratant son tir après avoir évité Khaloufi (6'), puis en se faisant bousculer par Rouid dans la surface de réparation sans que l’arbitre ne bronche (10') et surtout sur ce centre de Tenniche et une tête trop élevée (30'), tout comme Tembo qui bute sur le portier sfaxien , suite à un caviar de Nafkha (20'). Auparavant Da silva , bien servi par Bergaoui, sur un contre rapide en profite pour marquer, contre le courant du jeu (29').
Heureusement qu’il y avait Tembo, toujours étincelant et gardant sa forme du moment, pour remettre les pendules à l’heure avec un but d’anthologie dont il a le secret! Après un travail initial de Tenniche, autre révélation, et un relai avec Diarra, le Zambien, presque excentré, adresse un maitre tir qui se loge dans la lucarne devant Khalloufi médusé (37').
La pression étoilée continua de plus belle à l’entame de la seconde mi-temps, Sassi aussi se décidant enfin à se réveiller un peu, en créant par deux fois le danger , sur son flanc, sans parler du travail de sape de Meité, Tenniche et Nafkha pour accaparer le ballon au milieu du terrain, alors que Diarra va imposer son physique et sa technique pour tenter de surprendre Khaloufi dont ce tir (55') qui passe légèrement à coté des bois des Sfaxiens . Hamza Younes faillit sur le contre prendre à défaut Balbouli, son tir est contré par Mabrouk, et sur la remise instantanée du portier étoilée, Tembo prend de vitesse Rouid et lobe magistralement Khaloufi sorti à la rencontre pour donner l’avantage aux étoilés (58').Encore une fois le zambien, démontre toutes ses qualités de buteur, sa rapidité d’exécution et son opportunisme pour enflammer les travées du stade olympique.
Sans trop forcer les étoilés ont su par la suite gérer la dernier demi-heure, sans fermer le jeu, et en continuant à attaquer, mais avec moins de percussion, même si Akaichi, en dépit de tous es efforts, s’en trouvera malchanceux dans ses tentatives. Victoire logique donc de l’étoile, qui a fait preuve de beaucoup d’application surtout, et de volonté de bien faire. C’est en somme le même effectif qui parfois perd son football, mais qui, se montre capable, quand se font de petits réglages pour fournir ce genre de prestations. Ce n’est pas encore la perfection, mais la qualité y est, et le noyau est solide, à l’image des Tembo, Akaichi, Diarra, Mabrouk et Tenniche notamment. Il suffit seulement d’y croire et de le renforcer pour que l’étoile retrouve véritablement une autre régularité et de la profondeur. Cela viendra avec le temps. Pour le reste la victoire fait du bien aux cœurs et conforte les esprits. Cela demande aussi confirmation, pas plus loin que mercredi prochain, pour un certain CA-ESS lourd de conséquences.