Journal Groupe C : Angleterre et l'états Unis sont cal fiers au 8eme

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L'Australie a été battue par les Etats-Unis 1-3 samedi à Roodepoort lors du dernier match de préparation des deux formations avant le début de la Coupe du monde de la FIFA (11 juin - 11 juillet) en Afrique du Sud.

Les Aussies, 20e de la hiérarchie Fifa, ont été dominés par une sélection américaine classée 14e et bien aidée samedi par Edson Buddle, buteur à deux reprises en première période. Dès la quatrième minute, l'attaquant des Los Angeles Galaxy prenait le ballon au milieu australien Vince Grella avant de tromper facilement du droit le gardien des Socceroos Mark Schwarzer.

Les hommes de Pim Verbeek commençaient ensuite à prendre davantage possession du ballon mais c'est bien l'attaquant américain Robbie Findley qui manquait de peu le but gardé par Mark Schwarzer à la 15e minute.

Quatre minutes plus tard, l'attaquant australien d'Everton Tim Cahill réduisait le score sur un corner frappé par son compatriote Jason Culina.

Juste après la demi-heure de jeu, Buddle, de la tête, redonnait l'avantage aux Américains.

Après la mi-temps, les Australiens continuaient de chercher l'égalisation sans toutefois y parvenir.

Rentré en cours de match, l'attaquant de Puebla (Mexique) Herculez Gomez parachevait même le succès des hommes de Bob Bradley à la dernière minute de la rencontre (90+3e).

Privés de l'attaquant de Sochaux Charlie Davies, grièvement blessé dans un accident de la route à l'automne dernier et encore trop juste pour disputer le Mondial, les Etats-Unis débuteront la compétition face à l'Angleterre le 12 juin avant de rencontrer la Slovénie le 18 juin et l'Algérie le 23 juin dans le groupe C.

Les Socceroos, qui figurent, eux, dans le groupe D affronteront l'Allemagne le 13 juin puis le Ghana le 19 juin et enfin la Serbie le 23 juin.
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L'Algérie a terminé sa préparation au Mondial 2010 par une petite victoire (1-0) contre les Emirats Arabes Unis, peu convaincante, mais bonne pour le moral, après quatre défaites successives et onze buts encaissés, samedi à Fürth près de Nuremberg (Allemagne).

"C'est une excellente chose de renouer avec la victoire. On avait besoin de ce succès pour redonner un peu de confiance et ramener la sérénité au sein de l'équipe", selon Karim Ziani (Wolfsburg), auteur du but libérateur, sur penalty (51).

Le meneur de jeu a mis fin à une trop longue série de défaites, l'Algérie ayant enchaîné les mauvais résultats en s'inclinant à quatre reprises depuis le quart de finale de la CAN 2010 contre la Côte d'Ivoire (3-2) en Angola, en janvier. Les Verts ont été battus par l'Egypte (O-4) en demi-finale de cette CAN, puis par le Nigeria (0-1) en match de classement et lors de deux matches amicaux, contre la Serbie le 3 mars à Alger (0-3) et l'Eire le 28 mai à Dublin (0-3).

Cette victoire contre une équipe émiratie décidée et accrocheuse est venue à point nommé pour rassurer les supporteurs des Verts et la presse algérienne était unanime samedi pour estimer qu'elle était "bonne pour le moral", à sept jours du premier match contre la Slovénie au premier tour du Mondial. Pour l'entraîneur des Verts Rabah Saâdane, ce succès est à mettre au compte d'un travail "intensif" durant les deux stages de préparation à Crans Montana en Suisse, puis à Nuremberg en Allemagne.

"Quelques lacunes"
"Ce match a finalisé des stages de préparation très pleins, pendant lesquels on a beaucoup travaillé sur le plan physique et technique", dira-t-il après le match en se disant "globalement satisfait" de la préparation de l'équipe même s'il a relevé "quelques lacunes". "Nous avons relevé quelques choses positives et d'autres négatives. Nous tâcherons de les solutionner durant les 8 jours qui nous séparent du match contre la Slovénie", a souligné Saâdane.

Ces stages ont d'ailleurs permis le retour des blessés comme les défenseurs Madjid Bougherra (Glasgow Rangers) et Antar Yahia (Bochum) qui ont stabilisé la défense, malgré leur méforme physique due à un manque de compétition.

"Nous avons évolué avec pratiquement le onze type qui entamera le Mondial", a souligné Rabah Saâdane. "Nous avons joué de manière très offensive pour essayer de gagner le match mais nous avons mal géré certaines situations notamment dans la conservation du ballon", a-t-il reconnu.

Mais "il faut être franc, on ne va pas être parfait en Coupe du monde, c'est clair et on est loin d'avoir la cohésion parfaite car ça demande beaucoup de travail", a-t-il ajouté. Et il souhaite que la chance "soit de son côté" en Afrique du Sud où l'Algérie évoluera dans le groupe C avec la Slovénie, l'Angleterre et les Etats-Unis.[b][i]

Les plus mexicains des Américains [/b]

Les États-Unis sont connus comme le territoire de tous les possibles. Tout au long de son histoire, le pays à la bannière étoilée a accueilli des millions et des millions de personnes venues des quatre coins du monde chercher un avenir meilleur. Ces dernières décennies, beaucoup de ces immigrants sont venus du Mexique, traversant la frontière pour s'établir au nord du Rio Bravo.

C'est pourquoi la présence de noms comme Francisco Torres et Hérculez Gómez dans la liste du sélectionneur Bob Bradley ne constitue pas une surprise. C'est plutôt la trajectoire de ces deux "étrangers" qui est étonnante. Pour obtenir leur billet pour la Coupe du Monde de la FIFA Afrique du Sud 2010, ils ont dû faire la démarche inverse et se distinguer dans le championnat mexicain.

Torres, son cœur balance
José Francisco Torres est l'incarnation du rêve américain. De père mexicain et de mère américaine, il est détecté à l'adolescence par le CF Pachuca, qui évolue en première division mexicaine. À son arrivée, il conquiert rapidement son nouveau club par la qualité de son jeu. "Il était très motivé, passionné par le football. Son grand rêve était de jouer un jour en équipe nationale… pour le Mexique !", selon le président du Pachuca, Jesus Martínez. C'est là que son cœur commence à balancer entre le Mexique et les États-Unis.

Après des débuts pleins de culot en équipe première de Pachuca, il ne tarde pas à recevoir des propositions et à se poser des questions. Mais le sélectionneur mexicain Hugo Sánchez décide de ne pas le préconvoquer pour le Tournoi Olympique de Pékin 2008, ce qui lui permet d'y voir plus clair. "C'était une décision très difficile à prendre, mais je l'ai prise avec mon cœur", confie le joueur. "Ces quelques jours ont été très difficiles, très stressants. En vérité, je me suis toujours demandé ce que j'allais faire, mais j'ai finalement pris une décision."

Le voyage à Pékin, Torres le fait avec les moins de 23 ans américains. C'est le départ d'une aventure qui finira par l'emmener aujourd'hui jusqu'en Afrique du Sud. Bob Bradley place beaucoup d'espoirs en celui qu'il considère comme l'un des joueurs les plus techniques de l'équipe. "C'est un joueur doué. Sa technique de passe est excellente. Il est intelligent et c'est pour ça qu'il s'est si bien fondu dans le collectif", affirme le sélectionneur.

Ainsi, après avoir beaucoup douté et être passé par toutes les émotions, Torres représente désormais avec bonheur le pays qui l'a vu naître. Il se prend même à rêver à voix haute : "Je veux jouer contre l'Argentine et me mesurer à Lionel Messi. Et ensuite aller jouer pour un grand club, comme le Real Madrid".

Les ressources inattendues d'Hérculez
L'histoire de l'autre "Mexico-américain" est peut-être moins romantique, mais tout aussi étonnante. Comme son coéquipier, Hérculez Gómez est né à Los Angeles de parents mexicains. Après sa naissance, ses parents décident d'aller s'installer à Las Vegas, où leur fils fait ses premiers pas de footballeur.

Et comme pour Torres, c'est une équipe mexicaine qui le repère. L'attaquant signe son premier contrat professionnel à 19 ans avec Cruz Azul, mais son expérience au sud du Rio Bravo reste mitigée. Non retenu dans le groupe professionnel, il végète en seconde et troisième divisions mexicaines pendant deux ans sans jamais avoir l'occasion de jouer au plus haut niveau.

Il décide donc de retourner en Californie, où il lui faut encore patienter trois ans avant de jouer en MLS avec le Los Angeles Galaxy. Il réussit finalement à s'y imposer malgré des blessures qui semblent le frapper à chaque qu'il s'apprête à faire le grand saut. C'est en 2007 qu'il profite du relooking imposée par Bob Bradley à la sélection américaine pour fêter sa première cape, lors de la Copa America 2007.

À son retour du tournoi sud-américain, la malchance lui joue de nouveau des tours. Titularisé à un poste de milieu droit inhabituel pour lui, et dès lors incapable de se distinguer avec Colorado puis Kansas City, il décide de retourner au Mexique pour un essai avec le modeste club de Puebla. Revirement du destin : bien que rarement titulaire, il commence à marquer but sur but, finissant meilleur réalisateur du championnat mexicain avec dix unités à son actif. Pour ne rien gâcher, il signe deux autres buts avec la sélection américaine, qui lui permettront de composter définitivement son billet pour l'Afrique du Sud.

Maintenant qu'il est là, Gómez veut continuer sur sa lancée. Après son but face à l'Australie, il a déaffirme : "Pouvoir marquer ces buts, c'est un truc incroyable. À l'annonce de ma sélection, j'ai ressenti une grande émotion. Mais si je suis ici, c'est pour une raison. Le sélectionneur Bradley m'a accordé beaucoup de confiance et je compte bien faire tout mon possible pour aider l'équipe en Afrique du Sud", conclut-il, déterminé à ce que les États-Unis fassent une grande Coupe du Monde de la FIFA.

La dernière carte de la génération dorée


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L'autoproclamée "génération dorée" du football anglais joue sa dernière chance de réussir un tournoi international lors du Mondial-2010, qu'elle entame samedi contre les Etats-Unis à Rustenburg.

Des prestations sans âme aux Coupes du Monde 2002 et 2006 et aux Championnats d'Europe 2000 et 2004 étaient venues doucher l'immense optimisme de l'Angleterre. En 2008, ce fut pire, avec l'humiliation d'une absence à l'Euro... Pour certaines stars qui ont dépassé la trentaine, il est trop tard pour se racheter: des blessures privent David Beckham, Michael Owen et le capitaine Rio Ferdinand de l'occasion de répondre à des attentes vieilles d'une décennie.

Malgré ces absences, l'Angleterre présente le groupe le plus âgé avec le Brésil (plus de 28 ans et demi de moyenne d'âge) et le plus expérimenté, avec une moyenne de 40 sélections par joueur. Si le milieu de terrain Paul Scholes avait accepté de sortir de sa retraite internationale, comme le sélectionneur Fabio Capello le lui avait demandé, elle aurait été encore plus élevée.

Quand il a écarté six joueurs la semaine dernière pour établir sa liste finale, l'Italien a systématiquement visé les plus jeunes (Tom Huddlestone, Adam Johnson, Theo Walcott...).

"Dernier Mondial"
"Le sentiment qui doit nous animer, c'est que c'est notre dernière Coupe du monde", prévient le milieu de terrain Steven Gerrard, qui vient de fêter ses 30 ans. "Cela devrait être ma dernière chance de remporter une Coupe du monde, ou même de briller dans une."

Frank Lampard (qui fêtera ses 32 ans durant la compétition), Ashley Cole ou John Terry (bientôt 30 ans) auraient pu tenir le même discours. De l'avis de Gerrard, ce n'est pas une équipe vieillissante qui se présente mais une formation au sommet de son art: "Nos joueurs sont plus mûrs. Nous sommes à l'âge auquel les footballeurs sont à leur pic". Cet argument est appuyé par le précédent de 2006, lorsque les deux équipes affichant les moyennes d'âge les plus élevées, l'Italie et la France, s'étaient hissées en finale.

Mais, en cas d'échec, il pourra être reproché à Capello de n'avoir guère préparé l'avenir: sur les 30 Anglais présents en Afrique du Sud, six seulement ont moins de 27 ans, dont deux sont des titulaires indiscutables (Wayne Rooney et Glen Johnson) et un (Michael Dawson) ne doit sa présence qu'à la blessure de Rio Ferdinand.

Quelle que soit l'issue du tournoi, l'Angleterre présentera un visage radicalement différent au Brésil en 2014. Menée par Rooney, ce sera au tour d'une autre "génération dorée", celle de Walcott, de Joe Hart, de Gabriel Agbonlahor ou d'Adam Johnson, de prendre la relève.

المنتخب الإنجليزي يسقط بلاتينيوم ستارز بالثلاثة في أخر تجاربه قبل المونديال



حقق المنتخب الإنجليزي الفوز في آخر مباراة ودية له قبل انطلاق كأس العالم لكرة القدم 2010 في جنوب أفريقيا وتغلب على بلاتينيوم ستارز الجنوب أفريقي 3/صفر اليوم الاثنين.

لم يقدم الفريق الإنجليزي مستوى مقنعا ، وتقدم بهدف مبكر عبر جيرمين ديفو ، ولكنه تأثر بارتفاع درجات الحرارة والارتفاع عن مستوى سطح البحر.

وبعد القيام بعشرة تغييرات بين شوطي المباراة ، تحسن أداء الفريق الإنجليزي مع غروب الشمس وانخفاض درجات الحرارة، وبقي جو كول اللاعب الوحيد الذي أكمل المباراة حتى نهايتها.

وأضاف جو كول الهدف الثاني في الدقيقة 65 قبل أن يختتم واين روني أهداف الفريق.

وبدأ جون تيري وليدلي كينج في مركز قلب الدفاع ، ربما في إشارة على تفضيل الإيطالي فابيو كابيللو المدير الفني للفريق الإنجليزي، الاعتماد عليهما في الدفاع.

شارك ستيفين جيرارد وفرانك لامبارد في مركز لاعب خط الوسط المدافع ، وسط تكهنات عن تخطيط كابيللو لاختيار عناصره الأساسية في الدفاع وفي مركز خط الوسط المدافع قبل نهاية الشوط الأول ، ولاعبي الجانبين والمهاجمين فيما بعد.

منح ديفو المنتخب الإنجليزي البداية المثالية بعدما تابع بنجاح محاولة شون رايت فيلبس التي جاءت إثر تمريرة رائعة من جيرارد.

ولكن جلين جونسون تسبب في ضربة جزاء لفريق ستارز، أهدرها برادلي جروبلر واضاع فرصة إدراك التعادل لفريق حيث أطاح بضربة الجزاء فوق العارضة.

لم يشهد الشوط الأول سوى بعض الفرص القليلة للفريق الإنجليزي الذي أحكم سيطرته على مجريات اللعب في الشوط الثاني.

كاد ايملي هيسكي وجيمس ميلنر وواين روني أن يزيد نصيب الفريق الإنجليزي من الأهداف قبل أن يستغل كول تمريرة روني ويسجل الهدف الثاني للفريق ثم صنع ميلنر الهدف الثالث لروني .

يستهل المنتخب الإنجليزي مشواره في كأس العالم بملاقاة أمريكا السبت في راستنبرج.

Premier entraînement en Afrique du Sud pour l'Algérie



L'Algérie, arrivée lundi à Durban, a réalisé mardi matin sa première séance d'entraînement au Ugu Sports Complex sur les hauteurs de Margate (est) et disputé une petite opposition pendant que Yebda et Bellaïd se contentaient de trottiner.

"Le terrain et les conditions sont très bonnes", a apprécié le néo-Fennec Ryad Boudebouz. Lundi, les joueurs, qui étaient arrivés le matin, s'étaient contentés d'un simple décrassage à leur hôtel.

Si le sélectionneur Rabah Saâdane peut compter sur tous ses joueurs, il semble cependant que leur état de forme ne soit pas le même, à quelques jours de leur premier match dimanche contre la Slovénie.

Pour cette raison, il a dû attendre le dernier match préparatoire contre les Emirats Arabes Unis dimanche pour retrouver son équipe-type qu'il n'avait pu aligner depuis la fin de la CAN en janvier.

"Ca faisait longtemps que l'on n'avait pas joué avec toute notre défense", a ainsi rappelé le milieu Karim Ziani qui retrouve peu à peu des sensations après une saison presque blanche en Allemagne avec Wolfsburg.

"Cela fait seulement trois semaines que l'on peut travailler tous ensemble et l'équipe n'a joué qu'un seul match ensemble", a poursuivi le défenseur des Rangers Madjid Bougherra, qui n'avait plus joué depuis la demi-finale de coupe d'Ecosse en avril.

Après avoir affronté en préparation l'Eire (0:3) et les EAU (1:0) sans se mettre particulièrement en évidence, l'Algérie affrontera dimanche à Polokwane la Slovénie.

La sélection, qui devra ensuite rencontrer l'Angleterre (18 juin) et les USA (23 juin), quittera Margate samedi matin, la veille de la rencontre.

Ferdinand se résout à rentrer en Angleterre



Le défenseur central de l'Angleterre Rio Ferdinand a confié mardi qu'il avait finalement "accepté" la blessure qui le prive de Coupe du Monde et qu'il avait décidé de rentrer au pays après le premier match de ses anciens partenaires contre les Etats-Unis samedi.

"C'est une déception. Mais je l'ai finalement acceptée. La première nuit après la blessure (survenue vendredi) a été plutôt longue, à me répéter ce qui aurait pu se passer et à accepter de ne pas être en mesure de représenter mon pays au Mondial", a expliqué Ferdinand sur la BBC.

Mardi, le joueur de Manchester United a assisté sur une chaise à l'entraînement de son équipe, dans son camp de Phokeng (nord), le genou gauche immobilisé dans une coque. Désigné capitaine, il s'est blessé vendredi, lors du premier entraînement sud-africain des Anglais, lors d'un choc avec Emile Heskey.

Mais Ferdinand a exonéré l'attaquant de toute responsabilité : "C'était un accident. Emile a reçu le ballon, j'ai essayé de le tacler par derrière. Il ne m'a pas vu venir. On a tous les deux perdu l'équilibre et Emile est retombé de tout son poids sur mon genou. Ce n'est pas du tout de sa faute", a-t-il insisté.

"Même avant le résultat de la radio, je savais que je ne pourrais pas prendre part au Mondial. J'attendais juste la confirmation", a poursuivi le défenseur. "Je ne vais pas en mourir. Ce n'est pas comme si j'étais condamné à ne plus jamais jouer au football", a poursuivi Ferdinand qui, à 31 ans, voit peut-être s'échapper sa dernière chance de prendre part à une Coupe du monde.

Ferdinand rentrera en Angleterre après le match contre les Etats-Unis, mais il n'exclut pas "de revenir plus tard dans le tournoi si (sa) rééducation le permet".

مدرب الجزائر: سلوفينيا منتخب جيد في الدفاع والهجوم والضربات الثابتة



وصف رابح سعدان المدير الفني للمنتخب الجزائري لكرة القدم منتخب سلوفينيا الذي يلاقي فريقه في أولى مبارياته بنهائيات كأس العالم بجنوب أفريقيا الأحد المقبل بأنه "فريق قوي يلعب كرة جيدة في الدفاع والهجوم والضربات الثابتة".

وقال سعدان اليوم الأربعاء إنه وقف على نقاط قوة وضعف المنتخب السلوفيني الذي يعرف هو الآخر كل شيء عن منتخب الجزائر.

وأكد أنه بدأ منذ أمس الثلاثاء التحضير الفعلي لمباراة سلوفينيا بحضور جميع اللاعبين وأنه وضع في مخيلته التشكيل الأساسي الذي سيلعب به المباراة وحتى التشكيل البديل في حال ظهور تطورات جديدة، مشيرا إلى أن اللاعبين يستعدون لبذل قصارى جهدهم بالملعب "لتشريف الجزائر".

الفيفا يستبدل طاقم تحكيم مباراة الجزائر وسلوفينيا في كأس العالم



أعلن اتحاد الكرة الجزائري مساء أمس الثلاثاء أن الاتحاد الدولي للعبة (الفيفا) عين طاقم تحكيم جديدا يقوده ، باترس كارلوس ألبرتو ، من جواتيمالا لإدارة مباراة الجزائر وسلوفينيا المقررة الأحد المقبل في المرحلة الأولى من مباريات المجموعة الثالثة بنهائيات كأس العالم التي تنطلق بعد غد الجمعة بجنوب أفريقيا.

ويساعد ألبرتو في مهمته كل من ليال ليونيل من كوستاريكا وباسترانا كارلوس من هندوراس.

وكان الفيفا عين في البداية الشيلي بوزو كينتيروس بابلو لإدارة المباراة بمساعدة مواطنيه بازوالدو باتريسيو ومندريا فرانشيسكو ، لكنه تعرضه لإصابة ، ما جعل الاتحاد الدولي يقرر استبداله.

Le cauchemar américain : Wayne Rooney



Les Américains redoutent un obstacle de taille sur la route d'un exploit contre l'Angleterre, samedi à Rustenburg, lors de la 1re journée du Mondial-2010 (groupe C) : l'attaquant Wayne Rooney.

"On n'arrête pas de me demander si j'ai hâte d'affronter Wayne Rooney. Je n'ai jamais hâte d'affronter Wayne Rooney!", plaisante le gardien Tim Howard, qui n'a jamais encaissé de but de l'Anglais lors de leurs quatre affrontements depuis que l'Américain joue à Everton (2006).

Le défenseur Jay DeMerit ne peut pas en dire autant, martyrisé par Rooney avec Watford quand le club de la banlieue nord de Londres évoluait en Premier League. "Comment on l'arrête? Ouais, bonne question..." "Il fait partie des trois ou quatre meilleurs attaquants du monde et sa réussite cette saison le démontre. Il est en train de devenir un joueur complet. Rooney ne met pas seulement à l'épreuve vos qualités de footballeur. Il teste aussi votre mental, votre endurance, vos qualités physiques", selon DeMerit.

Alors comment arrêter le "Pelé blanc"? Le milieu Landon Donovan compte sur la fatigue d'un joueur qui a accumulé plus de 50 matches cette saison et qu'il pense "éreinté". Mais ses prestations lors des matches de préparation ne plaident pas pour la thèse de l'épuisement de Rooney.

"Il faut chambrer Rooney"
DeMerit n'y croit guère: "S'il affiche au Mondial sa forme de la saison, ce sera difficile...". Le défenseur ne renonce toutefois pas à offrir à son adversaire "une journée aussi difficile que possible" samedi et reconnaît que son équipe suivra "une préparation spécifique et intense (centrée) sur Rooney".

La solution pourrait être psychologique, les Américains ayant relevé avec intérêt la saute d'humeur de l'Anglais lors d'une rencontre contre une équipe sud-africaine lundi, qui lui a valu un carton jaune, un "exploit" rare dans un match de préparation sans enjeu. "L'équipe sait qu'il faut essayer de chambrer Rooney. On l'a constaté par le passé", reconnaît DeMerit, qui se souvient que le buteur a quitté le Mondial-2006 la tête basse, exclu pour avoir répondu à une provocation portugaise en quart de finale.

Mais, comme en atteste des statistiques disciplinaires en net progrès (aucune exclusion cette saison), la méthode n'est pas infaillible.

"Je pense qu'il a beaucoup appris ces dernières années. Son entourage lui a expliqué que c'était un moyen facile de l'énerver. Je ne pense pas que faire sortir Rooney de ses gonds soit aussi simple que ce que pensent les gens". Il serait toutefois surprenant que DeMerit et ses partenaires ne tentent pas leur chance...

Gerrard: "On a une bonne chance"




Le néo-capitaine de l'Angleterre, Steven Gerrard, est convaincu que son équipe a "une bonne chance" de remporter le Mondial-2010, qu'elle entame samedi contre les Etats-Unis à Rustenburg.

La blessure de Rio Ferdinand vous a bombardé capitaine. Mais il reste deux incertitudes: votre nature réservée n'est-elle pas un obstacle pour ce rôle et allez-vous trouver une complémentarité avec Frank Lampard ?
J'ai un sentiment mitigé. Je suis malade pour Rio mais j'ai désormais la responsabilité de conduire l'équipe. Je ne vais pas changer. Si j'ai obtenu ce poste, c'est parce que le sélectionneur pense que je suis un bon capitaine. Je crois bénéficier du respect des joueurs. J'ai des gens expérimentés autour de moi pour m'aider: David Beckham, Stuart Pearce, Rio Ferdinand qui est resté, John Terry. En ce qui concerne Frank, j'aime jouer avec lui. C'est un superbe joueur. On a travaillé dur à l'entraînement pour être sûr que ce partenariat fonctionne.

Exclu en 2006, Wayne Rooney semble actuellement irascible. A-t-il été mis en garde contre le danger de répondre aux provocations adverses?
Je ne sais pas s'il sera ciblé. Wayne a assez d'expérience pour gérer ça. Il sait qu'on a besoin de lui sur terrain. On ne peut pas lui enlever cet enthousiasme. Il est toujours à fond, c'est ce qui en fait un des meilleurs au monde. Mais tout le monde a été prévenu de l'importance de ce match. On a payé pour savoir ce qu'il en coûte de perdre des joueurs importants. Le sélectionneur a insisté sur l'importance de finir les matches avec onze joueurs. Les exclusions ou les suspensions ne feront que nous affaiblir.

Votre premier match sera peut-être le plus difficile...
Tous seront difficiles pour des raisons différentes. Mais c'est vrai que les Etats-Unis, c'est le premier. Et il est important de rentrer avec autorité dans ce tournoi. A la maison, tout le monde est derrière nous. La préparation s'est bien passée, malgré des matches moyens. Il y a beaucoup de grosses équipes, mais quand je regarde la nôtre, j'ai confiance: on a une bonne chance.

ارتياح في المنتخب الأمريكي بعد عودة ألتيدور للتدريبات




من المنتظر أن يكون المهاجم الأمريكي جوزي ألتيدور جاهزا للمشاركة في مباراة بلاده الأولى بنهائيات كأس العالم 2010 في جنوب أفريقيا أمام إنجلترا السبت المقبل.

وقال لاعب فياريال الأسباني /20 عاما/ عقب عودته إلى تدريبات منتخب بلاده في جنوب أفريقيا بعد تعرضه لشد في الكاحل خلال مباراة ودية أمام منتخب أستراليا: "أنا بحالة ممتازة".

وأضاف: "كاحلي بخير .. وأنا سعيد بعودتي للفريق من جديد".

يتطلع المنتخب الأمريكي لتكرار فوزه التاريخي على إنجلترا عام 1950 عندما يلتقي الفريقان مجددا في راستنبرج في اطار منافسات المجموعة الثالثة بمونديال 2010.

تضم المجموعة الثالثة الى جانب أمريكا وانجلترا، منتخبي الجزائر وسلوفيني

جيرارد فخور بحمل شارة قيادة المنتخب الإنجليزي



أعرب ستيفن جيرارد اليوم الخميس عن شعوره بالفخر بمنحه شارة قيادة المنتخب الإنجليزي لكرة القدم عقب إصابة قائد الفريق الأساسي ريو فرديناند.

وسيقود جيرارد منتخب إنجلترا في مباراته الأولى بنهائيات كأس العالم 2010 أمام الولايات المتحدة بعد غد السبت ، بعد حصوله على شارة القيادة عقب اضطرار فرديناند للانسحاب من الفريق لإصابته في ركبته الأسبوع الماضي.

وقال جيرارد: "أشعر بفخر عظيم لأنني سأقود زملائي في الملعب .. عندما سمعت بإصابة ريو في البداية انتابتني مشاعر متضاربة ، شعرت بحزن عميق من أجل ريو لأنه لاعب بالغ الأهمية بالنسبة لنا ولكنني الآن أشعر بسعادة غامرة لأنني سأقود لاعبي إنجلترا في كأس العالم".

وخلال مباريات الإيطالي فابيو كابيللو الأولى كمدرب لمنتخب إنجلترا في 2008 ، كان جيرارد بين عدد من اللاعبين المرشحين لارتداء شارة قيادة الفريق ولكن كابيللو وقع اختياره على جون تيري في البداية.

وعندما خسر تيري شارة القيادة لاحقا بسبب إقامته علاقة مع صديقة زميله واين بريدج ، منح كابيللو شارة القيادة لفرديناند بما أنه رأى أن جيرارد شخص هاديء بشكل كبير.

وأصر جيرارد أنه لن يغير أسلوبه في التعامل مع الآخرين وقال : "لن أتغير على الإطلاق .. إنني في هذا المركز لأن المدربين يرون أنني قائد جيد".

وأضاف: "أشعر أنني أحظى باحترام اللاعبين ، سأنظر إلى هذه القيادة على أنها أمر إيجابي وليس سلبي".

Les Anglais devront gérer le défi physique américain




L'Angleterre, qui aborde en favorite son premier match du Mondial-2010, devra gérer le défi physique des Américains samedi à Rustenburg (groupe C, 18h30 GMT) et la pression imposée par une nation qui attend un sacre.

La sélection aux Trois Lions est constellée de stars (Wayne Rooney, Steven Gerrard, Frank Lampard, John Terry, Ashley Cole) quand les Américains n'ont qu'un joueur pouvant prétendre à ce statut (Landon Donovan).

Mais le ciel n'est pas sans nuages pour l'équipe de Fabio Capello, qui n'a plus livré un bon match depuis septembre: une préparation médiocre, la blessure de l'arrière central Rio Ferdinand remplacé par Ledley King dont le genou menace de lâcher à chaque instant, l'absence d'un gardien de haut niveau.

S'il devait laisser quelques jours supplémentaires à Gareth Barry pour se remettre d'une blessure à une cheville, Capello serait contraint d'associer dans l'axe Frank Lampard et Steven Gerrard, un partenariat qui n'a jamais fonctionné et qui laisse l'Angleterre vulnérable sur les contres.

Errements défensifs américains
Or, ce secteur est l'un des points forts des Américains, qui disposent de joueurs rapides, comme Clint Dempsey, Robbie Findley et surtout Landon Donovan, dont le duel avec Ashley Cole sera une clé du match.

Immensément inférieurs aux Anglais en terme de technique, les Américains tableront sur une organisation et une condition physique impeccables.

"Nous resterons fidèles à notre manière de jouer. Si un gars est battu, il y en aura un autre pour se lever à sa place. Il faudra être à fond physiquement, courir, se battre, couvrir son partenaire pendant 90 minutes", résume le milieu Michael Bradley.

Pour garder leurs chances, les Américains devront remédier aux errements défensifs apparus en préparation. "Si nous leur donnons trop de coups francs, nous serons probablement punis", prévient le gardien Tim Howard.

Son équipe est animée d'une immense motivation. Elle rêve d'infliger un revers à ses lointains cousins d'Europe dont elle supporte mal la condescendance persistante quand il s'agit de "soccer".

Les partenaires de Donovan veulent s'inspirer d'un précédent: en 1950 au Brésil, une équipe d'amateurs américains avait pris le meilleur sur les superstars anglaises (1-0) lors du seul duel en Coupe du monde. S'il demeure, l'écart entre les deux nations est aujourd'hui bien plus faible...