L'Angleterre, pas vraiment royale
Une bourde énorme du gardien anglais Robert Green a permis aux Etats-Unis d’obtenir le match nul (1-1), ce samedi face à l’Angleterre, dans un match très animé.
Tout était tellement bien parti pour l’Angleterre, que cela ne pouvait finalement pas durer. Au cours d’une entrée de match parfaite, Heskey jouait en pivot sur Gerrard, qui transperçait la défense américaine pour marquer d’un tir en bout de course de près (1-0, 4e). Les Anglais maitrisaient leur sujet avec ce but d’avance rapidement acquis, mais les Américains, qui avaient surpris tout le monde l’année dernière en Afrique du Sud en étant tout près de remporter la Coupe des Confédérations, n’avaient pas dit leur dernier mot. Progressivement, ils prenaient la mesure du match et commençaient même à se montrer menaçant. Il n’en fallait pas plus pour égaliser, avec l’aide du malheureux Green. Sur une frappe sans danger de Dempsey, le portier de West Ham laissait filer le ballon dans son but en assurant mal sa prise de balle (1-1, 40e). La malédiction des gardiens anglais continuait de coûter très cher.
Après la pause, la rencontre se poursuivait sur un rythme très élevé. L’Angleterre dominait, mais les contres américains étaient meurtriers, à l’image de cette frappe d’Altidore qui trouvait le poteau de Green (64e). Entre temps, Heskey manquait le coche dans un face à face remporté par Howard (52e), et le gardien US devait multiplier les arrêts pour garder son équipe dans le match. Les Américains reculaient mais tenaient bon jusqu’au bout face à une formation anglaise au potentiel offensif indéniable, mais qui a souffert bien plus que prévu en défense, contre des joueurs américains très appliqués et confirment à chaque sortie internationale leurs étonnants progrès.
Une bourde énorme du gardien anglais Robert Green a permis aux Etats-Unis d’obtenir le match nul (1-1), ce samedi face à l’Angleterre, dans un match très animé.
Tout était tellement bien parti pour l’Angleterre, que cela ne pouvait finalement pas durer. Au cours d’une entrée de match parfaite, Heskey jouait en pivot sur Gerrard, qui transperçait la défense américaine pour marquer d’un tir en bout de course de près (1-0, 4e). Les Anglais maitrisaient leur sujet avec ce but d’avance rapidement acquis, mais les Américains, qui avaient surpris tout le monde l’année dernière en Afrique du Sud en étant tout près de remporter la Coupe des Confédérations, n’avaient pas dit leur dernier mot. Progressivement, ils prenaient la mesure du match et commençaient même à se montrer menaçant. Il n’en fallait pas plus pour égaliser, avec l’aide du malheureux Green. Sur une frappe sans danger de Dempsey, le portier de West Ham laissait filer le ballon dans son but en assurant mal sa prise de balle (1-1, 40e). La malédiction des gardiens anglais continuait de coûter très cher.
Après la pause, la rencontre se poursuivait sur un rythme très élevé. L’Angleterre dominait, mais les contres américains étaient meurtriers, à l’image de cette frappe d’Altidore qui trouvait le poteau de Green (64e). Entre temps, Heskey manquait le coche dans un face à face remporté par Howard (52e), et le gardien US devait multiplier les arrêts pour garder son équipe dans le match. Les Américains reculaient mais tenaient bon jusqu’au bout face à une formation anglaise au potentiel offensif indéniable, mais qui a souffert bien plus que prévu en défense, contre des joueurs américains très appliqués et confirment à chaque sortie internationale leurs étonnants progrès.
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