Ligue des Champions: l'Inter s'impose face à Barcelone
L'Inter, menée au score après moins de 20 minutes, s'est finalement imposée 3 à 1 contre le FC Barcelone, mardi à Milan en demi-finale aller de la Ligue des Champions, un résultat inattendu qui place les Milanais en bonne position avant le retour en Catalogne dans une semaine.
L'attaquant argentin Diego Milito, auteur de deux passes décisives et d'un but, a sans aucun doute été l'homme du match face à des champions d'Europe qui après 45 bonnes premières minutes, ont cédé devant l'enthousiasme des Nerazzurri. Cette saison, les Barcelonais ne s'étaient pourtant jamais inclinés à l'extérieur en C1.
Quant à Messi, plus attendu que jamais après son prodigieux quadruplé face à Arsenal (4-1) en quart de finale, il n'a pas été "étouffé" par un marquage individuel comme l'avait assuré mardi Jose Mourinho, mais les milieux, Thiago Motta et Cambiasso en tête, lui ont compliqué la tâche au maximum.
Ainsi privé de l'extraordinaire rayonnement de l'Argentin, peut-être fatigué par les 14 heures de car pour rallier la Lombardie, le Barça n'a pas eu le même impact que d'ordinaire.
Il est vrai cependant qu'à l'inverse d'Arsenal, l'Inter sait très bien se regrouper, défendre et faire le dos rond, à l'image de Lucio, parfait pour couper les trajectoires des centres, ou du gardien Julio Cesar, décisif lorsque les Blaugrana ont poussé très fort dans le dernier quart d'heure.
Les Catalans avaient pourtant parfaitement entamé la rencontre, "punissant" leur adversaire sur leur toute première occasion.
Le latéral Maxwell, arrivé cet été en provenance de... l'Inter, échappé sur le côté gauche se défaisait du marquage de Cambiasso et centrait en retrait: une aubaine pour le jeune attaquant Pedro dont la frappe instantanée du gauche ne laissait aucune chance à Julio Cesar (19).
Touchée, l'Inter allait mettre quelques minutes à refaire surface. Mais après une première occasion à l'actif de Milito (tir effleurant le poteau droit, 27), c'est Sneijder qui remettait son équipe dans le match.
A la suite d'un centre d'Eto'o, Milito récupérait dos au but et transmettait côte gauche de la surface: la frappe intérieur pied droit du Néerlandais trompait Valdes (30).
Remise en confiance par cette égalisation, la championne d'Italie allait faire la différence au début de la seconde période.
A la suite d'un centre de Milito, encore lui, échappé côté droit, le latéral Maicon trompait Victor Valdes et donnait l'avantage aux Nerazzurri (48). Le même Maicon qui, plus tard, sortait, blessé (72).
Mené, le Barça allait ensuite réagir avec Messi (frappe détournée par Julio Cesar, 53) puis Busquets (tête de nouveau repoussée par le gardien, 54). Mais, sur un contre, c'est l'Inter qui enfonçait le clou.
Sur un centre au deuxième poteau d'Eto'o, Sneijder remisait de la tête pour l'intenable Milito qui, d'une nouvelle tête, "fusillait" Victor Valdes de près (61).
Les 30 dernières minutes étaient très dures pour les Milanais, le Barça poussant de plus en plus fort au fil des minutes, "campant" dans la surface. Mais à l'image d'un coup franc de Messi parfaitement détourné par Julio Cesar (79), très en verve, ils tenaient le coup jusqu'au bout.
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L'Inter, menée au score après moins de 20 minutes, s'est finalement imposée 3 à 1 contre le FC Barcelone, mardi à Milan en demi-finale aller de la Ligue des Champions, un résultat inattendu qui place les Milanais en bonne position avant le retour en Catalogne dans une semaine.
L'attaquant argentin Diego Milito, auteur de deux passes décisives et d'un but, a sans aucun doute été l'homme du match face à des champions d'Europe qui après 45 bonnes premières minutes, ont cédé devant l'enthousiasme des Nerazzurri. Cette saison, les Barcelonais ne s'étaient pourtant jamais inclinés à l'extérieur en C1.
Quant à Messi, plus attendu que jamais après son prodigieux quadruplé face à Arsenal (4-1) en quart de finale, il n'a pas été "étouffé" par un marquage individuel comme l'avait assuré mardi Jose Mourinho, mais les milieux, Thiago Motta et Cambiasso en tête, lui ont compliqué la tâche au maximum.
Ainsi privé de l'extraordinaire rayonnement de l'Argentin, peut-être fatigué par les 14 heures de car pour rallier la Lombardie, le Barça n'a pas eu le même impact que d'ordinaire.
Il est vrai cependant qu'à l'inverse d'Arsenal, l'Inter sait très bien se regrouper, défendre et faire le dos rond, à l'image de Lucio, parfait pour couper les trajectoires des centres, ou du gardien Julio Cesar, décisif lorsque les Blaugrana ont poussé très fort dans le dernier quart d'heure.
Les Catalans avaient pourtant parfaitement entamé la rencontre, "punissant" leur adversaire sur leur toute première occasion.
Le latéral Maxwell, arrivé cet été en provenance de... l'Inter, échappé sur le côté gauche se défaisait du marquage de Cambiasso et centrait en retrait: une aubaine pour le jeune attaquant Pedro dont la frappe instantanée du gauche ne laissait aucune chance à Julio Cesar (19).
Touchée, l'Inter allait mettre quelques minutes à refaire surface. Mais après une première occasion à l'actif de Milito (tir effleurant le poteau droit, 27), c'est Sneijder qui remettait son équipe dans le match.
A la suite d'un centre d'Eto'o, Milito récupérait dos au but et transmettait côte gauche de la surface: la frappe intérieur pied droit du Néerlandais trompait Valdes (30).
Remise en confiance par cette égalisation, la championne d'Italie allait faire la différence au début de la seconde période.
A la suite d'un centre de Milito, encore lui, échappé côté droit, le latéral Maicon trompait Victor Valdes et donnait l'avantage aux Nerazzurri (48). Le même Maicon qui, plus tard, sortait, blessé (72).
Mené, le Barça allait ensuite réagir avec Messi (frappe détournée par Julio Cesar, 53) puis Busquets (tête de nouveau repoussée par le gardien, 54). Mais, sur un contre, c'est l'Inter qui enfonçait le clou.
Sur un centre au deuxième poteau d'Eto'o, Sneijder remisait de la tête pour l'intenable Milito qui, d'une nouvelle tête, "fusillait" Victor Valdes de près (61).
Les 30 dernières minutes étaient très dures pour les Milanais, le Barça poussant de plus en plus fort au fil des minutes, "campant" dans la surface. Mais à l'image d'un coup franc de Messi parfaitement détourné par Julio Cesar (79), très en verve, ils tenaient le coup jusqu'au bout.
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