Le « Jabulani » fait valser les joueurs du mondial ?
Il semblerait que le ballon du Mondial 2010, baptisé «Jabulani» qui veut dire en langage Zoulou «célébrer» aurait une fâcheuse tendance à provoquer le mécontentement général parmi les équipes qui ont déjà eu affaire à lui.
Ainsi, plusieurs personnalités issues du monde du foot auraient déjà critiqué haut et fort les performances de ce ballon en terme s de trajectoire et de stabilité « Le plus gros problème, c'est que la plupart du temps, ce ballon est incontrôlable. (...) C'est bien quand vous jouez en passes courtes, mais quand vous essayez de faire des longues passes, la trajectoire est très difficile à lire (...) C'est terrible pour les joueurs, mais aussi pour les gardiens à cause de cette trajectoire difficile a anticiper» dixit Fabio Capello, sélectionneur de l’équipe d’Angleterre à la BBC.
De leurs côté, les joueurs s’en sont donné à cœur joie comme l'Espagnol Casillas qui a traité le pauvre ballon de « Pourri ». Quant au Brésilien Julio Cesar, il s’agit d’un « ballon de supermarché ».
Certaines mauvaises langues auraient même déjà pointé du doigt le « Jabulani » concernant le faible rendement des matches qui se sont déroulés jusqu’à présent !
Pourtant au départ, la FIFA clame haut et fort que Jabulani intègre les dernières avancées technologiques du moment. Il s’agirait du ballon « le plus rond et le plus précis qui soit», en faisant références à huit panneaux 3D soudés thermiquement, rendant le ballon parfaitement sphérique, contrairement à ses prédécesseurs, qui utilisaient la technologie des panneaux plats.
En tout cas une chose est sure, demandez l’avis des deux gardiens de buts qui ont commis les deux plus grosses bêtises du tournoi : l'Algérien Chaouchi et l'Anglais Robert Green…
S.B.N
Il semblerait que le ballon du Mondial 2010, baptisé «Jabulani» qui veut dire en langage Zoulou «célébrer» aurait une fâcheuse tendance à provoquer le mécontentement général parmi les équipes qui ont déjà eu affaire à lui.
Ainsi, plusieurs personnalités issues du monde du foot auraient déjà critiqué haut et fort les performances de ce ballon en terme s de trajectoire et de stabilité « Le plus gros problème, c'est que la plupart du temps, ce ballon est incontrôlable. (...) C'est bien quand vous jouez en passes courtes, mais quand vous essayez de faire des longues passes, la trajectoire est très difficile à lire (...) C'est terrible pour les joueurs, mais aussi pour les gardiens à cause de cette trajectoire difficile a anticiper» dixit Fabio Capello, sélectionneur de l’équipe d’Angleterre à la BBC.
De leurs côté, les joueurs s’en sont donné à cœur joie comme l'Espagnol Casillas qui a traité le pauvre ballon de « Pourri ». Quant au Brésilien Julio Cesar, il s’agit d’un « ballon de supermarché ».
Certaines mauvaises langues auraient même déjà pointé du doigt le « Jabulani » concernant le faible rendement des matches qui se sont déroulés jusqu’à présent !
Pourtant au départ, la FIFA clame haut et fort que Jabulani intègre les dernières avancées technologiques du moment. Il s’agirait du ballon « le plus rond et le plus précis qui soit», en faisant références à huit panneaux 3D soudés thermiquement, rendant le ballon parfaitement sphérique, contrairement à ses prédécesseurs, qui utilisaient la technologie des panneaux plats.
En tout cas une chose est sure, demandez l’avis des deux gardiens de buts qui ont commis les deux plus grosses bêtises du tournoi : l'Algérien Chaouchi et l'Anglais Robert Green…
S.B.N